lundi 27 août 2012

Réponse du Ministre de l'Agriculture suite à mon courrier du 29/05/2012

 
 
                                                           Nice, 29 mai 2012
 Marraines d’honneur
  Mmes Betty ULMER
  Et Michèle MERCIER
 
 
 
 
Monsieur le Président de la République,
 
Dans un climat national et mondial délicat, je me permets tout de même de vous faire part d’un grave problème sur notre territoire. Le statut des animaux en France.
 
Vous avez accédé à un poste qui vous donne le pouvoir de faire changer les choses et de les faire évoluer.
 
Ghandi à dit « on juge une nation par la façon dont il traite ses animaux »et malheureusement notre pays considère encore aujourd’hui les animaux comme des meubles.
 
Je vous joins l’article parut ce jour dans notre quotidien Nice-Matin, qui démontre les dérives épouvantables dû à ce statut qui ne considère pas les animaux domestiques ou de compagnies comme des êtres à part entière et qui laisse champ libre à de tels actes de cruauté.
 
Je sais qu’il est interdit de vendre des peaux de chat ou de chien sous peine de poursuite, mais maintenant on les mange !
 
Ce comportement horrible montre certainement un  grave problème économique qui peut pousser une certaine catégorie d’homme et de femme à en arriver là, mais le gros problème en matière de protection animale, c’est que si la loi française ne considère pas cet acte comme un délit comment peut-on y faire face ?
 
Donc monsieur le Président, il est vraiment temps de changer le code civil afin d’éradiquer ces actes ignobles envers nos animaux de compagnie. Il y a 3 millions de chiens et de chats en France donc il serait grand temps que la France les considèrent autrement que comme des biens dont les propriétaire peuvent disposer comme bon leur semble.. Même de les manger !!
 
Espérant que ce courrier est retenu toute votre bienveillante attention et surtout que ce SOS soit enfin entendu.
 
Je vous prie d’agréer, monsieur le Président de la République, mes sincères salutations distinguées et respectueuses.
 
 
Le président
Cédric paquet                                                                                                                  
 
Association G.A.L.A
Groupe d’Action pour L’amour des Animaux
Loi 1901/ N° SIRET 518 186 523 00016
147 Rte St Pierre de féric - 06000 Nice – France 04 93 44 23 71 ou 06 63 64 62 45
E-mail : galacedric@hotmail.fr
http://www.gala.fr.nf
 
 
 
 

mercredi 22 août 2012

remise en service de la ligne téléphonique

Suite à un problème technique la ligne de l'association G.A.L.A 04 93 44 23 71 est de nouveau en service depuis 2 jours.

N'hésitez pas à nous contacter pour toutes de renseignements pour demande d'aide mauvais traitement sur animaux, aide financière, vétérinaire ou alimentaire. Comment faire un don ou devenir bénévole.

Amicalement

lundi 13 août 2012

Permettez moi de vous dire a tous mes amis, que facebook et autre moyen de communication est devenu pour moi un milieu épouvenatble d'horreur parmis nos amis des animaux. Je sais que tout cela existe mais mon Dieu quelle horreur d'ouvrir facebook pour voir de telle horreur que l'on m'envoi à chaque message... C'est terrifiant !!! Mais comment voulez vous que je fasse à mon petit niveau si personne ne m'aide financièrement parlant!! j'ai déboursé à moi seul près de 1000€ sur mon budget perso pour sauver des animaux et on me demande de sauver des refuges !!!! Je vous supllie si vous voulez que l'association G.A.LA. aide....... de m'aider ! merci du fond du coeur. cédric Paquet

mardi 7 août 2012

Ma lettre à Madame la Ministre de l'écologie afin de ne pas plier devant les revendications des chasseurs des Alpes Maritimes


Article Nice-Matin du 05/08/2012 "Quels sont les animaux "nuisibles" des Alpes-Maritimes?"

L’actualisation de la "liste noire" d’espèces ravive, sur la Côte d’Azur comme ailleurs les tensions entre chasseurs, agriculteurs et défenseurs de la nature.

Longtemps, certains animaux sauvages furent éliminés sans autre forme de procès, dès lors qu'ils causaient des dégâts aux cultures ou aux troupeaux. « Les agriculteurs se chargeaient de supprimer fouines, belettes ou encore martres. Sans rien demander et sans offusquer personne »,raconte le président national et départemental des chasseurs, le Niçois Bernard Baudin, qui se souvient « dans les années 1960, des peaux de renards vendus 200 F pièce (30 euros) ».

Avec la montée en puissance des associations de protection de la nature et la prise en compte par l'opinion de la fragilité de la biodiversité, le contexte sociétal, puis juridique, a radicalement changé. Les espèces susceptibles d'être tirées ou piégées toute l'année doivent aujourd'hui être déclarées nuisibles. Et pour obtenir cette dénomination, il faut prouver l'importance des dégâts.

Une "liste noire" de ces animaux est en cours de révision, dans les Alpes-Maritimes, comme dans le reste de la France. Compromis entre les intérêts divergents des agriculteurs, des chasseurs et des protecteurs de la nature, elle ravive à l'occasion de son actualisation les tensions. La nouvelle mouture s'oriente, ainsi, vers un équilibre moins favorable aux chasseurs et aux agriculteurs, deux groupes qui parfois se confondent.

Des chasseurs moins écoutés

Habitués ces dernières années à être chouchoutés par un pouvoir de droite, les chasseurs sont assez mécontents du projet soumis depuis quelques jours à consultation publique. « Nous déplorons notamment,précise Bernard Baudin, que la belette et le putois ne soient plus classés comme nuisibles dans aucun département. Dans les Alpes-Maritimes., l'étourneau sansonnet ne l'était pas davantage. Il a fallu intervenir auprès du ministère pour qu'il le devienne… »

Bernard Baudin doit rencontrer la ministre de l'Écologie le 1er août. Il espère quelques « réajustements » de l'arrêté avant sa promulgation d'ici un mois.

Polémique sur la belette et le putois

Aura-t-il autant d'écoute et de compréhension que sous l'ère Sarkozy ? « Le gouvernement actuel semble aussi bien disposé envers les chasseurs. J'ai déjà eu deux entretiens très positifs avec le ministre de l'Agriculture. C'est avec les services du ministère de l'Écologie que le courant passe mal… »

La relative - et peut-être temporaire - perte d'influence du monde cynégétique profite, bien sûr, aux associations naturalistes. « Le projet d'arrêté prend en compte les récentes décisions de justice qui nous sont favorables »,se félicite Ariane Ambrosini de l'Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS).

« Il contient quelques avancées, comme la non-inscription de la belette et du putois. Ces deux espèces sont perçues comme des concurrents par les chasseurs. Elles sont stigmatisées non pour leurs dégâts, faibles, dans les élevages mais surtout pour les prélèvements opérés sur le gibier ». Cependant, Ariane Ambrosini se garde de pavoiser. « Nul doute que les chasseurs ne vont pas baisser les bras et d'ici la signature de l'arrêté se livrer à un intense lobbying… »

Le sanglier, le renard et l'étourneau sansonnet visés dans les AM

Dans les Alpes-Maritimes, sont ou seront déclarés nuisibles le sanglier dans la bande côtière, le renard sur l’ensemble du département et l’étourneau sansonnet dans 99 des 163 communes. Les agriculteurs n’en demandaient pas davantage.

"Nous sommes les premiers défenseurs de la biodiversité", explique le vice-président de la Chambre d’agriculture, Jean-Philippe Frère.

"Nous ne voulons pas la disparition de certaines espèces, mais leur régulation pour prévenir les dégâts.Ainsi, le renard a toute sa place en forêt, le sanglier dans le moyen et le haut pays."




                                                           Nice, 06 aout 2012

 Marraines d’honneur

  Mmes Betty ULMER

  Et Michèle MERCIER



Madame la Ministre,



Ce dimanche 06 aout 2012 est parut dans le quotidien Nice-Matin un article de deux pages sur l’actualisation de la « liste noire » d’espèces animales, comme le renard, l’étourneau, le sanglier etc…

En lisant les différents intervenants dont Mr Bernard Baudin (Président des chasseurs) qui déplore que les défenseurs des animaux et de la nature aient été si entendu au point qu’ils ne peuvent plus agir à leur guise, en quelques mots et Nice-Matin de rajouter que les chasseurs chouchoutés par un pouvoir de droite, qui a grandement satisfait leur moindre désidérata, fait que je me permets d’intervenir auprès de vous madame la Ministre car il est grand temps aujourd’hui que ça change.

En lisant l’article il est bien clair qu’en France on résolve les problèmes en matière d’animaux par la destruction, en éliminant systématiquement des méthodes plus humaines.

On sait ce que la chasse représente en France et toute l’organisation qui au fil des années a entrainée plus de dérèglement écologique que de gestion réfléchie. Et dans un pays qui se dit civilisé mais où l’on pratique encore la chasse à courre il serait vraiment temps de remettre le système en cause.

Tout ceci pour vous dire que je suis scandalisé par les propositions des chasseurs en matière de régulation des espèces qu’ils se donnent le droit de les faire déclarer nuisibles unique façon pour eux pour les « flinguer » !

Si les espèces « sauvages » gênes ces messieurs c’est parce qu’on ne leur laisse quasiment plus de territoire. Les sangliers qui ont évoluer génétiquement à force d’avoir été élevés par les hommes pour en faire plus des cochons sauvages que des sangliers, font des portés avec beaucoup plus de petits que les vraies races de sangliers.

Les chasseurs éradiquent et ont éradiqués les prédateurs de notre écosystème. De plus ils appauvrissent les races en faisant du lâché de gibiers d’élevages et tout un tas de chose qui font que les chasseurs si ils en avaient le pouvoir, éradiqueraient tout ce qu’ils les gênent, loup, lynx, renard, belette, fouine etc.… Pour continuer à se défouler avec leur fusil.

Et maintenant on s’attaque aux étourneaux. J’imagine bien que tant d’oiseaux peuvent causer des dégâts mais de la à les déclarer nuisibles pour pouvoir les détruire est irrespectueux et indigne d’un pays qui se dit civilisé. Arrangeons nous pour trouver d’autres solutions. Ils ne sont pas arrivé hier ces oiseaux, c’est nous qui avons une démographie galopante et qui font que nature et humain ont du mal à cohabiter. A nous de faire en sorte de s’efforcer à maintenir un équilibre sans engendrer la mort !

Pour toutes ces raisons, je vous demande Madame la Ministre de ne pas faire comme vos prédécesseurs qui au moindre grognement des chasseurs baissaient leur pantalon.

Je vous supplie de prendre des décisions HUMAINES et de ne pas courber l’échine devant une minorité d’excités de la gâchette qui ne savent pas quoi faire de leur dimanche !

Espérant avoir pu retenir toute votre bienveillante attention, je vous prie d’agréer, madame la ministre, mes sincères salutations distinguées et respectueuses.





                                                    


Le président

Cédric Paquet