lundi 27 février 2012

Histoire écœurante du « sauvetage »


Nice le 19 avril 2010-04-19

Suite à cette histoire écœurante du « sauvetage » par toute une armada de bons citoyens et professionnels  d’une laie qui rejoignait la côte par la mer pour ensuite se voir confisquer le pauvre animal afin de l’abattre.



Cette histoire a choquée plus d’un citoyen et la presse a plus que relayée l’affaire et c’est tant mieux tant le geste a été cruel.

Chacun y va de son explication, mais je suis encore profondément attristé du comportement de certain homme qui oubli de se conduire comme des êtres humains.

J’ai réagis auprès du journal Nice-Matin


Madame, Monsieur,

Je réagis a cette histoire écœurante d’une laie sauvée des eaux et tuée.
Encore un acte scandaleux des hommes contre le genre animal.
Cette pauvre laie sauvée des eaux par des hommes pour ensuite être abattue par des
hommes montre la bassesse de notre époque où le vivant n’a plus d’ importance.
Je suis profondément scandalisé par un tel acte de sauvagerie et d’une déshumanisation qui
me choque et m’attriste au plus haut point.

Il n’y a pas de mot assez fort pour qualifier cet acte barbare envers un animal qui a lutter
pour sa vie dans les eaux de la méditerranée pour rejoindre la terre ferme et se voit
supprimer cette vie si précieuse par des assassins sanguinaires,  des êtres que l’on appel
encore des êtres humains.

Si l’homme ne jouait pas autant avec la nature et ses habitants détruisant une espèce pour
permettre a des détraqués de la gâchette de flinguer a tout va des sangliers que l’on trouve
trop nombreux aujourd’hui, je pense sincèrement que l’on en ne serait pas là a ce jour.
Alors messieurs les flingueurs, messieurs les soit disant gestionnaires de la nature, soyez
responsable de vos actes et accepter que la nature reprenne ses droits. Et si  une larme
d’humanité vient a parcourir votre âme en sauvant un être ayez au moins la décence de
l’assumer jusqu’au bout et de vous portez garant de sa survie.

Président-fondateur
Cédric Paquet  

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